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Ezéchiel
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Les enfants de l'ombre, Barjavel
J'ai lu la nouvelle sur le monstre de l'Allier. Bof, j'ai été déçue. Des bons sentiments et surtout, un réalisme qui ne s'assume pas en travestissant simplement les noms : Vichy devient Chussy, Devaux devient Day...
Kashima- Faux-monnayeur
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L'amour après, Marceline Loridan-Ivens
Abandonné... malgré tout le respect que j'ai pour Marceline.
Dernière édition par Kashima le Dim 30 Juin 2019 - 20:08, édité 1 fois
Kashima- Faux-monnayeur
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Kashima- Faux-monnayeur
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Kashima- Faux-monnayeur
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Saint Jean d'Acre - PIerre Benoit
Abandonné... Malgré une belle écriture et un début intrigant, la suite sur une bataille napoléonienne était trop technique pour moi.
Kashima- Faux-monnayeur
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Kashima- Faux-monnayeur
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Angel et Lara, Ruth Prawer Jhabvala
Abandonné. N4apportait pas ce que j'attendais...
Kashima- Faux-monnayeur
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Buzie ou le cantique des cantiques, Sholem Aleichem
Bof... Écrit comme une prière, certes... mais pas très intéressant au final.
Kashima- Faux-monnayeur
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Une girage pour le roi, Gabriel Dardaud
Abandonné... mais très détaillé historiquement.
Kashima- Faux-monnayeur
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Dalie Farah, Impasse Verlaine
Très bon livre. À découvrir ici :
http://salon-litteraire.linternaute.com/fr/les-anciens-et-les-modernes/content/1949119-dalie-farah-impasse-verlaine-nul-ne-guerit-de-son-enfance
Dernière édition par Kashima le Mer 7 Aoû 2019 - 10:00, édité 1 fois
Kashima- Faux-monnayeur
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Daphné du Maurier, La Fortune de Sir Julius Lévy
L'histoire de Jules Lévy, qui me semble être celle d'un vrai psychopathe : centré sur lui-même, sur son désir de possession, il dénonce sa mère adultère qui finit étranglée par son mari ; il jette son chat dans la Seine avec une pierre autour du cou pour que personne ne le possède à part lui ; il n'éprouve pas de sentiments pour les autres qui ne sont là que pour servir son égo. Ses femmes, si elles sont belles et présentent bien, il saura être agréable avec elles.
Rarement vu un personnage aussi odieux. À un moment, je me suis demandé pourquoi l'auteur a voulu qu'il soit juif. Écrit en 1935, le roman répand tout de même des clichés antisémites, comme celui de Juif = vénal. Cela m'a dérangée, et je n'ai pas la réponse à mes questions. Julius aurait pu être un personnage aussi odieux, pourquoi l'associer aux "Israélites"...?
L'histoire est celle d'une ascension sociale : issu d'une famille modeste, Jules fait les marchés avec sa famille. Son père est un homme pitoyable, que son beau-père ne cesse de traiter de Juif. Sa femme le trompe, il n'est respecté de personne.
Jules manigance. Tout petit, il a le sens des affaires, il sait se servir du monde. Avec patience et économie (radinerie, plus tard), il parvient à bâtir une fortune...
Rarement vu un personnage aussi odieux. À un moment, je me suis demandé pourquoi l'auteur a voulu qu'il soit juif. Écrit en 1935, le roman répand tout de même des clichés antisémites, comme celui de Juif = vénal. Cela m'a dérangée, et je n'ai pas la réponse à mes questions. Julius aurait pu être un personnage aussi odieux, pourquoi l'associer aux "Israélites"...?
L'histoire est celle d'une ascension sociale : issu d'une famille modeste, Jules fait les marchés avec sa famille. Son père est un homme pitoyable, que son beau-père ne cesse de traiter de Juif. Sa femme le trompe, il n'est respecté de personne.
Jules manigance. Tout petit, il a le sens des affaires, il sait se servir du monde. Avec patience et économie (radinerie, plus tard), il parvient à bâtir une fortune...
Kashima- Faux-monnayeur
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L'Atlantide, Pierre Benoit
"De quoi sont-ils morts, monsieur ? Ils sont morts d'amour."
"J'aime les animaux, que j'ai de solides raisons de préférer aux hommes."
https://i.servimg.com/u/f87/18/84/31/57/tumblr10.jpg
"Ne parlez pas, tant que vous ne l'avez pas vue. Je vous affirme seulement ceci, c'est que, dès que vous l'aurez vue, vous ne vous souviendrez plus de rien. Famille, patrie, honneur, tout, vous renierez tout pour elle."
"Antinéa ! chaque fois que je l'ai revue, je me suis demandé si je l'avais bien regardée alors, troublé comme je l'étais, tellement, chaque fois, je la trouvais plus belle. Plus belle ! pauvre mot, pauvre langue. Mais vraiment est-ce la faute de la langue, ou de ceux qui galvaudent un tel mot ?"
"Un miracle d'ironie et de désinvolture."
À propos d'Antinéa.
"Et ce sera mon tour de pénétrer dans l'éternité par la porte sanglante de l'amour."
Dernière édition par Kashima le Mar 23 Juil 2019 - 7:13, édité 1 fois
Kashima- Faux-monnayeur
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Les Frères Karamazov, Dostoïevski
Abandonné après plus de 700 pages...
Ce n'est pas un roman très passionnant. Je trouve qu'il part dans tous les sens. Présenté comme le roman du parricide, le meurtre n'intervient qu'au-delà de la 500ème page.
Les histoires d'amour ne sont pas non plus très prenante et, psychologiquement, ce n'est pas haletant comme un Crime et Châtiment peut l'être.
De longs passages inutiles, des moments qui n'en finissent pas pour ne pas dire grand chose (l'interrogatoire de Dimitri sur les 3000 roubles, par ex). J'ai craqué...
"Je la contemplai avec une haine intense, celle qu'un cheveu seul sépare de l'amour le plus ardent."
"Je n'ai jamais pu comprendre comment on peut aimer son prochain. C'est précisément, à mon idée, le prochain qu'on ne peut aimer ; du moins ne peut-on l'aimer qu'à distance. (...) Il faut qu'un homme soit caché pour qu'on puisse l'aimer ; dès qu'il montre son visage, l'amour disparaît."
"Et ce qui est étonnant, ce n'est pas que Dieu existe en réalité, mais que cette idée de la nécessité de Dieu soit venue à l'esprit d'un animal féroce et méchant comme l'homme, tant elle est sainte, touchante, sage, tant elle fait honneur à l'homme."
"On compare parfois la cruauté de l'homme à celle des fauves ; c'est faire injure à ces derniers. Les fauves n'atteignent jamais au raffinement de l'homme. Le tigre déchire sa proie et la dévore ; c'est tout. Il ne lui viendrait pas à l'idée de clouer les gens par les oreilles, même s'il pouvait le faire."
"Je pense que si le diable n'existe pas, s'il a été créé par l'homme, celui-ci l'a fait à son image."
Ce n'est pas un roman très passionnant. Je trouve qu'il part dans tous les sens. Présenté comme le roman du parricide, le meurtre n'intervient qu'au-delà de la 500ème page.
Les histoires d'amour ne sont pas non plus très prenante et, psychologiquement, ce n'est pas haletant comme un Crime et Châtiment peut l'être.
De longs passages inutiles, des moments qui n'en finissent pas pour ne pas dire grand chose (l'interrogatoire de Dimitri sur les 3000 roubles, par ex). J'ai craqué...
"Je la contemplai avec une haine intense, celle qu'un cheveu seul sépare de l'amour le plus ardent."
"Je n'ai jamais pu comprendre comment on peut aimer son prochain. C'est précisément, à mon idée, le prochain qu'on ne peut aimer ; du moins ne peut-on l'aimer qu'à distance. (...) Il faut qu'un homme soit caché pour qu'on puisse l'aimer ; dès qu'il montre son visage, l'amour disparaît."
"Et ce qui est étonnant, ce n'est pas que Dieu existe en réalité, mais que cette idée de la nécessité de Dieu soit venue à l'esprit d'un animal féroce et méchant comme l'homme, tant elle est sainte, touchante, sage, tant elle fait honneur à l'homme."
"On compare parfois la cruauté de l'homme à celle des fauves ; c'est faire injure à ces derniers. Les fauves n'atteignent jamais au raffinement de l'homme. Le tigre déchire sa proie et la dévore ; c'est tout. Il ne lui viendrait pas à l'idée de clouer les gens par les oreilles, même s'il pouvait le faire."
"Je pense que si le diable n'existe pas, s'il a été créé par l'homme, celui-ci l'a fait à son image."
Kashima- Faux-monnayeur
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Le K, Dino Buzzati
Les nouvelles sont inégales, mais il y a tout de même de petits bijoux (le K, La Création, Pauvre petit garçon)...
Celles que j'ai préférées :
"Le K"
Quand il est enfant, Stefano voit en pleine mer une créature qui ne le quitte pas des yeux. Personne ne la voit à part lui. Son père lui explique qu'il a vu le K et que cette bête n'aura de cesse de le poursuivre jusqu'à ce qu'elle ait sa peau...
"La Création"
Dieu reçoit les architectes et concepteurs qui lui proposent des tas de créatures. L'un d'entre eux, l'oeil fuyant, peu aimable, a inventé une bête à deux bras et à deux jambes que Dieu refuse de valider :
"Il m'a tout l'air une source d'embêtements à n'en plus finir" "
"La leçon de 1980"
Une drôle de chose se passe dans le monde : les plus puissants sont décimés un à un. C'est donc la lutte de l'anti-pouvoir, plus aucun homme politique ne veut se faire remarquer. Et seul de Gaulle résiste...
"À Monsieur le Directeur"
Le narrateur, Dino Buzzati, avoue au directeur de son journal qu'il n'est pas l'écrivain qu'il croit. Il a toujours rêvé d'écrire mais n'avait aucun talent. C'est un vieil homme qui écrit tous ses livres et qui reçoit l'argent en échange. L'auteur à succès se trouve pris au piège...
"Un amour trouble"
C'est l'histoire d'un coup de foudre entre un homme... et une maison.
"Pauvre petit garçon"
Tout est dans la dernière phrase, la chute... L'histoire d'un enfant rejeté par les autres.
"Chasseurs de vieux"
La nuit, les jeunes sortent et décident d'en découdre avec les vieux. C'est la traque.
"L’œuf"
Comment une guerre presque totale est déclenchée par un rien : une petite fille pauvre qui voulait garder un œuf dans une chasse aux œufs qui lui était interdite.
"Le veston ensorcelé
C'est l'histoire d'un veston qui fournit des billets à celui qui le porte... sauf que chaque somme est tirée d'une catastrophe. Faut-il s'enrichir quand même?
"Douce nuit"
Quel calme, à la campagne... Et pourtant, chaque nuit, c'est un vrai massacre qui a lieu sans que personne ne le remarque.
"L'Ascenseur"
Un homme se trouve enfermé dans un ascenseur qui ne cesse de descendre, en compagnie d'un homme étrange et d'une jeune fille qu'il a souvent remarquée et qui l'attire.
"C'était un de ces exécrables types de femmes qui se laisseraient tuer sur place plutôt que de vous accorder un sourire."
"Ubiquité"
Un homme trouve la formule magique qui lui permet d'être partout où il désire, au moment où il le pense. mais, comme dans toutes les nouvelles, le don sera-t-il empoisonné?
"Le petit ballon"
Des saints regardent le monde et déplorent que personne ne semble heureux sur cette terre. Oneto cherche à prouver que le bonheur existe : il aperçoit une petite fille qui porte un ballon...
"La chute du saint"
Le saint Ermogène, de son paradis, voit un groupe de jeunes et, soudain, il les envie...
"Mais sais-tu quel est leur destin ? Ils rêvent de gloire et ils ne la connaîtront peut-être pas, ils rêvent de richesse et ils souffriront de la faim, ils rêvent d'amour et ils seront trompés, ils font des projets et peut-être demain seront-ils morts.
- Ça ne fait rien, dit Ermogène, en ce moment ils peuvent espérer n'importe quoi."
"Le magicien"
Schiassi (que l'on retrouve dans d'autres nouvelles et qui incarne toujours un homme étrange) vient expliquer au narrateur le vide et l'inutilité de l'art : plus rien n'intéresse personne, à quoi bon?
"Vous aurez toujours moins de lecteurs, toujours moins... Littérature, art ?... tout ça, c'est des grands mots... (...) De quel art s'occupent les gens ? (...) Le public va droit au solide, à ce qui lui donne un plaisir matériel, palpable, immédiat. Et qui ne lui coûte pas de fatigue. Et qui ne fasse pas travailler le cerveau..."
"Les bosses dans le jardin"
Le narrateur remarque une bosse dans son jardin. Giacomo, le jardinier, lui explique que cette bosse vient de la mort récente d'un de ses amis. Et, au fil de la vie du narrateur, les bosses se multiplient...
"Quiz aux travaux forcés"
En prison, une fois, chaque détenu a l'occasion de prononcer un discours en public. S'il convainc la foule et qu'elle l'applaudit, il est gracié.
Kashima- Faux-monnayeur
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Kashima- Faux-monnayeur
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Dans ces bras-là, Camille Laurens
Abandonné au bout de quelques pages.
"Je ne parlerai que des hommes, rien que des hommes... histoire de femme à hommes, dans l'ombre des hommes...." aaaaaaaah!!!!!!!!
Kashima- Faux-monnayeur
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Tsippora, Marek Halter
Le deuxième volume de La Bible au féminin est un régal!
On y suit l'histoire inventée dans les interstices de la Bible de la femme de Moïse, Tsippora, fille de Jéthro.
Il rencontre cette belle et jeune femme noire alors qu'il est en fuite (il vient de tuer un contremaître en Égypte).
Le roman montre comment Moïse accomplira son destin grâce à elle, dont il aura deux enfants : Gershom et Eliezer.
Marek Halter donne corps à ses personnages et il sait nous transporter dans les contrées bibliques. Il montre aussi en quoi cette étrangère a pu éveiller la méfiance chez d'autres Hébreux (Myriam, la soeur de Moïse, est dans ce roman détestable...)
Ça se dévore!
A lire aussi :On y suit l'histoire inventée dans les interstices de la Bible de la femme de Moïse, Tsippora, fille de Jéthro.
Il rencontre cette belle et jeune femme noire alors qu'il est en fuite (il vient de tuer un contremaître en Égypte).
Le roman montre comment Moïse accomplira son destin grâce à elle, dont il aura deux enfants : Gershom et Eliezer.
Marek Halter donne corps à ses personnages et il sait nous transporter dans les contrées bibliques. Il montre aussi en quoi cette étrangère a pu éveiller la méfiance chez d'autres Hébreux (Myriam, la soeur de Moïse, est dans ce roman détestable...)
Ça se dévore!
Bethsabée (femme de David et mère de Salomon) et Sarah (femme d'Abraham).
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Kashima- Faux-monnayeur
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Lilah, Marek Halter
Le moins bien des trois de la trilogie biblique au féminin. Après Sarah et Tsippora, qui nous menaient auprès d'Abraham et de Moïse, grandes figures de la Bible, en peignant des portraits de femmes fortes et amoureuses, Lilah ne passionne pas beaucoup. Déjà, a-t-elle vraiment existé, ou Marek Halter a-t-il inventé cette sœur d'Ezra (Esdras, descendant d'Aaron qui veut reconduire le peuple juif à Jérusalem et reconstruire son temple)? Il ne parvient pas, cette fois, à lui donner la force de Sarah et de Tsippora. Le roman n'est qu'une promesse de ce qui pourrait se passer, et la quatrième de couverture suffirait, finalement. Certains chapitres sont assez vides et ennuient.
Les personnages sont beaucoup plus caricaturaux, pour preuve cette reine perse, Parysatis, dont la cruauté ne sonne pas juste. Ezra ne nous attendrit jamais et on n'a pas envie de vivre avec lui le renouveau de Jérusalem, alors qu'on avait hâte, avec Tsippora, que Moïse accomplisse sa mission.
Drôle de choix que cette destinée pas très intéressante pour clore une belle trilogie : pourquoi ne pas avoir choisi Rachel, par exemple...?
Attribué à Isaïe dans ce livre.
Kashima- Faux-monnayeur
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Simak, Le dernier cimetière
Une bonne idée que cette Terre Dernière, terre désertée par l'homme après des catastrophes et devenue un immense cimetière où se font enterrer les anciens Terriens ; bon personnage que cet Elmer, robot millénaire qui rappelle le Jenkins de Demain les chiens (que j'avais beaucoup aimé!).
Mais, à mi-livre, je me suis lassée. Ça vire un peu au club des 5 ou à l'Indiana Jones : on arpente la nature, on fuit des loups... bof. Je trouve qu'on perd l'idée de départ.
Dernière édition par Kashima le Mer 28 Aoû 2019 - 10:52, édité 1 fois
Kashima- Faux-monnayeur
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Mon Holocauste, Tova Reich
Abandonné à plus de la moitié. Un peu trop long, un peu trop loufoque aussi, avec une tendance à partir dans tous les sens.
Dommage... car le sujet de "mon holocauste", où l'on voit toutes sortes d'individus (de l'handicapé gourou aux jeunes Noirs anti-esclavagistes, en passant par le directeur du Musée de NY qui court après les subventions) tenter de tirer profit du génocide juif aurait pu être intéressant.
La fille juive, Consolation, de Norman (fils du directeur du Musée), pousse son engagement jusqu'à devenir nonne dans un couvent à côté d'Auschwitz.
Mais il manque peut-être une fil conducteur solide et une trame narrative pour intéresser le lecteur jusqu'au bout.
Paroles du gourou :Dommage... car le sujet de "mon holocauste", où l'on voit toutes sortes d'individus (de l'handicapé gourou aux jeunes Noirs anti-esclavagistes, en passant par le directeur du Musée de NY qui court après les subventions) tenter de tirer profit du génocide juif aurait pu être intéressant.
La fille juive, Consolation, de Norman (fils du directeur du Musée), pousse son engagement jusqu'à devenir nonne dans un couvent à côté d'Auschwitz.
Mais il manque peut-être une fil conducteur solide et une trame narrative pour intéresser le lecteur jusqu'au bout.
"Vous savez, mes magnifiques amis, reprit-il, psalmodiant tel un conteur antique autour du feu, je veux vous dire quelque chose de très, très profond. Nous sommes dans un camp de concentration. Un camp de concentration est un lieu idéal pour la concentration, alors mes très, très saints amis, concentrez vos centres chakra pour recevoir ceci, car c’est la chose la plus profonde."
Kashima- Faux-monnayeur
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Kashima- Faux-monnayeur
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