Quand les livres s'écoutent...

Nicole en parlait il y a peu : Kafka sur le rivage s'écoute. Sur France inter, France culture, les fictions radiophoniques, les pièces de théâtre sonores sont diffusées.
Je suis en train de lire un article sur le dernier Magazine littéraire sur les livres audio : "Le grain de la voix". Voici quelques liens pour écouter les livres...

Ce site permet à ceux qui aiment écouter la littérature de le faire gratuitement :
http://www.litteratureaudio.com
Ce n'est pas téléchargeable, c'est du streaming...

Sur le site du Collège de France, des conférences sont téléchargeables.

Comme il est écrit dans cet article, "en sollicitant l'ouïe plutôt que la vue, celle-ci déplace notre appréhension du texte et ainsi nous apprend toujours autre chose, même s'agissant d'une œuvre que nous pensions connaître parfaitement." (Alexis Broca)

Personnellement, ayant une mémoire davantage visuelle qu'auditive, je sais que je ne prends pas du tout le même plaisir, que j'aime me retrouver seule avec le livre sous les yeux, que je me concentre moins sur une lecture qui m'est faite.

http://www.audiolib.fr (payant)
http://www.audiocite.net/livres-audio-gratuits-poesies/index.html (peut-être pour les poésies ou le théâtre, il faut fouiller...)

Nicole.

Je sais bien que le théâtre n'est pas un livre, mais j'ai lu ceci :

«Nuits de traverse» de Christophe Botti, qui passe samedi soir sur France Culture, est la première pièce radiophonique gay aussi largement diffusée. L’histoire des destins croisés de trois noctambules en quête d'amour dans la capitale...
Au départ, Nuits de traverse est un opéra électro gay

Nuits de traverse

Nuits de traverse sera diffusée samedi 5 mars à 20 h sur France Culture (durée: 1 heure), suivie d'une interview de Christophe Botti. La pièce sera ensuite disponible en podcast sur le site de France Culture.

Mais l’inverse ? Le livre ne serait-il pas « quelque part » un théâtre ? En voilà un joli terrain sur lequel laisser vagabonder ses idées, tiens…

Sinon j’ai pour ma part tout de même beaucoup de problèmes à appréhender la notion « d’art gay » (lesbien, hétéro…) – mais j’ai en fait des problèmes avec tout ce qui amène ou entérine une sectorisation qui me semble être la base de toutes les caricatures et ostracismes. Vive la diversité, non à la groupusculisation !

(Pour avoir moi-même par le passé tenu des propos sensiblement différents je me rends compte des limites de « mon » raisonnement, hein...)

x 1001.

Nicole.