HMS - l'art de Saïd
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HMS - l'art de Saïd
J'ai rencontré, il y a peu, un garçon tellement talentueux que je voulais montrer ici quelques-unes de ses créations : dessins, peintures, ses inspirations me touchent, me plaisent, rencontrent parfaitement et frappent mon imaginaire!
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Un grand créateur...
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Dernière édition par Kashima le Ven 5 Aoû 2022 - 9:15, édité 2 fois
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Le Sexe de Saïd
« La sauvagerie compte pour la création ! De la bestialité raffinée par l'esprit sur une feuille avec le secours d'un bic noir »
Saïd peint, dessine, photographie… Peintre attentif aux mots, il accorde un soin particulier à donner un nom à ses peintures :
« Mes toiles ont des titres qui sont tantôt dans le sens de l’image donc descriptifs ou complémentaires, tantôt comme des pièges pour égarer le spectateur, et le forcer, en réfléchissant par lui-même, à délaisser ses préjugés. Je crois que c’est ça le secret de l’inspiration, je veux dire cet instant fou et vrai quand soudain un de nos préjugés volent en éclats, en laissant entrevoir une autre réalité, peut-être un peu plus proche de la vérité, plus proche de notre vérité, une vérité qui n’est jamais absolue, mais ayant le privilège d’être la nôtre. »
En revanche, il ne baptise pas ses dessins : venus d’une source obscure, objets irraisonnés sortis de son cerveau, il les laisse vivre sans nom. Nés de la rencontre d’un stylo à bille noir et d’un papier extra blanc pour imprimante, parfois d’un correcteur ou effaceur qui donne des impressions de gouache, les dessins de Saïd ont le goût de l’hybridité : des sexes carnassiers, des corps féminins statufiés qui se brisent, des visages violents comme des armes… Saïd croque instinctivement et parfois, l’un de ses monstres sur papier se réincarne dans une toile.
• Le sexe vu/voyant
L’œil est dans la serrure, la serrure est pubienne. Le spectacle engloutit le voyeur, l’objet regardé se confond avec celui qui le contemple : les paupières sont des lèvres, on croit violer le sexe qu’on regarde et c’est lui qui nous voit. Les Effluves d’esprit posent le problème des participes : le vu et le voyant ne font qu’un dans l’art de Saïd, et le spectateur croit forcer le tableau qui l’avale, comme cet homme qui se penche dans l’ouverture de l’origine du monde…
Regardez-moi, disent les sexes de femmes ouverts, mais je vous vois aussi, vous ne ressortirez pas indemnes de ce spectacle.
A force d’être vus, ils prennent d’autres formes : chauves-souris, insectes aux pattes crochues ou guenon éventrée, Saïd les tisse et les allonge, les déshabille et les habille…
Ce sont des créatures qui vivent en dehors du corps une vie autonome : on ne les rattache à rien, elles se suffisent, modèles réduits de la femme, habillés et coiffés.
Et, tentés par l’hermaphrodisme, ils ressemblent à cet escargot ou à ce sexe phallo-clitoridien.
Objet qui revendique sa subjectivité, la chaussure saïdienne ne veut pas seulement qu’on la regarde, elle veut voir aussi.
Bien qu’il ne se qualifie pas du tout de fétichiste, Saïd aime peindre et dessiner cet objet féminin, la chaussure à talon :
« Le fétichiste, selon Freud, élirait comme fétiche le dernier objet qu’il a vu, enfant, avant de s’apercevoir de l’absence (la chaussure, par exemple, pour un regard qui remonte à partir du pied) de pénis ; et le retour à cet objet, à ce point de départ, lui permettrait de maintenir en droit l’existence de l’organe contesté. » Gilles Deleuze, Présentation de Sacher-Masoch / 1967
La chaussure de Saïd témoigne de cette absence à laquelle il remédie :
« Il apparaît en ce sens que le fétichisme est d’abord dénégation (non, la femme ne manque pas de pénis)», Gilles Deleuze,
Saïd distord les talons, il malmène aussi le bout de la chaussure. Ses expériences le conduisent à créer, à partir d’une chaussure, d’autres bêtes, comme un canard.
La chaussure est aussi dévorante qu’une gueule ou qu’un sexe, mais le plaisir en boule se niche sous le pied. La morsure sera douce comme une jouissance.
Suivant son mode d’inspiration, elle prend forme sur une toile, la Projection providentielle, fusion du corps et de l’objet, de l’os et du cuir, anéantissement des matières.
La sobriété des couleurs, d’un vert marécageux en fond, annonceur de la pourriture, le rose éclat de l’os et des osselets, qui ont mangé la chair et gardé sa couleur…
• Les nus hybrides
Saïd dessine la femme, mais il joue avec les morceaux, cruel Pygmalion qui s’amuse à briser sa créature.
Le corps est amputé, réduit, modifié… Mais il reste toujours un sexe.
Il y a du Viol de Magritte dans cette femme dont le corps devient un visage.
Certains visages ressemblent à des Arcimboldo, bien que les fruits ne soient pas de la même sorte.
Le nez devient phallus et, s’il ne l’est pas, l’objet qui le remplace est érectile .
Les horizons de Saïd sont-ils sinistres, si l’on en croit les regards qui se dirigent tous vers la gauche ? Le corps morcelé n’est plus qu’objet d’Eros, il s’hybride et multiplie sa puissance érotique ; il s’appareille…
• Les objets, corps et armes
« Des armes, des chouettes, des brillantes
Des qu'il faut nettoyer souvent pour le plaisir
Et qu'il faut caresser comme pour le plaisir
L'autre, celui qui fait rêver les communiantes
Des armes bleues comme la terre
Des qu'il faut se garder au chaud au fond de l'âme
Dans les yeux, dans le cœur, dans les bras d'une femme
Qu'on garde au fond de soi comme on garde un mystère »
Léo Ferré
[/center]
Les armes de Saïd sont le prolongement des corps. Elles tirent comme elles éjaculent.
Larme de l’arme, fusil hermaphrodite… Saïd voit des formes féminines dans le manche, des érections dans les canons. Dans L’habit fait le moine, on devine déjà un sein dans le bois rouge, tout comme sur ce dessin d’une crosse rehaussée d’un sein au fier mamelon.
Le peintre détourne la violence du pistolet et du fusil, il l’érotise, comme dans ce dessin d’une arme au matériau où sont cachés des sexes, ou dans celui-là où l’on remarque une drôle de gâchette.
Les forces à l’œuvre sont libidinales. Saïd accorde l’art de la préhistoire et le talent des siècles. Même ses abstractions sont sexuelles.
Je tais ici l’engagement de sa peinture. Sous l’angle du désir, voici enfin sa République :
"La fécondation se prépare : au micro de la république, les vanités sourient, aux lèvres épistaxiques et qui furent virginales.
Coiffé d’un bonnet amolli, souvenir d’une Phrygie profonde, l’intérêt général est au sexe et au sang : bleu l’acier du gamète, et l’escargot stérile est témoin des espoirs.
Liberté, égalité, ou charité de la gâchette… Le bout de l’arme fume : République a tiré son coup." CM
« W delta Z, une formule de Price qui dit que l’amour n’existe pas, que c’est juste des gênes qui nous utilisent pour se produire et se foutent royalement de nous… »
Toute la portée du sexe de Saïd…
Saïd peint, dessine, photographie… Peintre attentif aux mots, il accorde un soin particulier à donner un nom à ses peintures :
« Mes toiles ont des titres qui sont tantôt dans le sens de l’image donc descriptifs ou complémentaires, tantôt comme des pièges pour égarer le spectateur, et le forcer, en réfléchissant par lui-même, à délaisser ses préjugés. Je crois que c’est ça le secret de l’inspiration, je veux dire cet instant fou et vrai quand soudain un de nos préjugés volent en éclats, en laissant entrevoir une autre réalité, peut-être un peu plus proche de la vérité, plus proche de notre vérité, une vérité qui n’est jamais absolue, mais ayant le privilège d’être la nôtre. »
En revanche, il ne baptise pas ses dessins : venus d’une source obscure, objets irraisonnés sortis de son cerveau, il les laisse vivre sans nom. Nés de la rencontre d’un stylo à bille noir et d’un papier extra blanc pour imprimante, parfois d’un correcteur ou effaceur qui donne des impressions de gouache, les dessins de Saïd ont le goût de l’hybridité : des sexes carnassiers, des corps féminins statufiés qui se brisent, des visages violents comme des armes… Saïd croque instinctivement et parfois, l’un de ses monstres sur papier se réincarne dans une toile.
• Le sexe vu/voyant
L’œil est dans la serrure, la serrure est pubienne. Le spectacle engloutit le voyeur, l’objet regardé se confond avec celui qui le contemple : les paupières sont des lèvres, on croit violer le sexe qu’on regarde et c’est lui qui nous voit. Les Effluves d’esprit posent le problème des participes : le vu et le voyant ne font qu’un dans l’art de Saïd, et le spectateur croit forcer le tableau qui l’avale, comme cet homme qui se penche dans l’ouverture de l’origine du monde…
Regardez-moi, disent les sexes de femmes ouverts, mais je vous vois aussi, vous ne ressortirez pas indemnes de ce spectacle.
A force d’être vus, ils prennent d’autres formes : chauves-souris, insectes aux pattes crochues ou guenon éventrée, Saïd les tisse et les allonge, les déshabille et les habille…
Ce sont des créatures qui vivent en dehors du corps une vie autonome : on ne les rattache à rien, elles se suffisent, modèles réduits de la femme, habillés et coiffés.
Et, tentés par l’hermaphrodisme, ils ressemblent à cet escargot ou à ce sexe phallo-clitoridien.
Objet qui revendique sa subjectivité, la chaussure saïdienne ne veut pas seulement qu’on la regarde, elle veut voir aussi.
Bien qu’il ne se qualifie pas du tout de fétichiste, Saïd aime peindre et dessiner cet objet féminin, la chaussure à talon :
« Le fétichiste, selon Freud, élirait comme fétiche le dernier objet qu’il a vu, enfant, avant de s’apercevoir de l’absence (la chaussure, par exemple, pour un regard qui remonte à partir du pied) de pénis ; et le retour à cet objet, à ce point de départ, lui permettrait de maintenir en droit l’existence de l’organe contesté. » Gilles Deleuze, Présentation de Sacher-Masoch / 1967
La chaussure de Saïd témoigne de cette absence à laquelle il remédie :
« Il apparaît en ce sens que le fétichisme est d’abord dénégation (non, la femme ne manque pas de pénis)», Gilles Deleuze,
Saïd distord les talons, il malmène aussi le bout de la chaussure. Ses expériences le conduisent à créer, à partir d’une chaussure, d’autres bêtes, comme un canard.
La chaussure est aussi dévorante qu’une gueule ou qu’un sexe, mais le plaisir en boule se niche sous le pied. La morsure sera douce comme une jouissance.
Suivant son mode d’inspiration, elle prend forme sur une toile, la Projection providentielle, fusion du corps et de l’objet, de l’os et du cuir, anéantissement des matières.
La sobriété des couleurs, d’un vert marécageux en fond, annonceur de la pourriture, le rose éclat de l’os et des osselets, qui ont mangé la chair et gardé sa couleur…
• Les nus hybrides
Saïd dessine la femme, mais il joue avec les morceaux, cruel Pygmalion qui s’amuse à briser sa créature.
Le corps est amputé, réduit, modifié… Mais il reste toujours un sexe.
Il y a du Viol de Magritte dans cette femme dont le corps devient un visage.
Certains visages ressemblent à des Arcimboldo, bien que les fruits ne soient pas de la même sorte.
Le nez devient phallus et, s’il ne l’est pas, l’objet qui le remplace est érectile .
Les horizons de Saïd sont-ils sinistres, si l’on en croit les regards qui se dirigent tous vers la gauche ? Le corps morcelé n’est plus qu’objet d’Eros, il s’hybride et multiplie sa puissance érotique ; il s’appareille…
• Les objets, corps et armes
« Des armes, des chouettes, des brillantes
Des qu'il faut nettoyer souvent pour le plaisir
Et qu'il faut caresser comme pour le plaisir
L'autre, celui qui fait rêver les communiantes
Des armes bleues comme la terre
Des qu'il faut se garder au chaud au fond de l'âme
Dans les yeux, dans le cœur, dans les bras d'une femme
Qu'on garde au fond de soi comme on garde un mystère »
Léo Ferré
[/center]
Les armes de Saïd sont le prolongement des corps. Elles tirent comme elles éjaculent.
Larme de l’arme, fusil hermaphrodite… Saïd voit des formes féminines dans le manche, des érections dans les canons. Dans L’habit fait le moine, on devine déjà un sein dans le bois rouge, tout comme sur ce dessin d’une crosse rehaussée d’un sein au fier mamelon.
Le peintre détourne la violence du pistolet et du fusil, il l’érotise, comme dans ce dessin d’une arme au matériau où sont cachés des sexes, ou dans celui-là où l’on remarque une drôle de gâchette.
Les forces à l’œuvre sont libidinales. Saïd accorde l’art de la préhistoire et le talent des siècles. Même ses abstractions sont sexuelles.
Je tais ici l’engagement de sa peinture. Sous l’angle du désir, voici enfin sa République :
"La fécondation se prépare : au micro de la république, les vanités sourient, aux lèvres épistaxiques et qui furent virginales.
Coiffé d’un bonnet amolli, souvenir d’une Phrygie profonde, l’intérêt général est au sexe et au sang : bleu l’acier du gamète, et l’escargot stérile est témoin des espoirs.
Liberté, égalité, ou charité de la gâchette… Le bout de l’arme fume : République a tiré son coup." CM
« W delta Z, une formule de Price qui dit que l’amour n’existe pas, que c’est juste des gênes qui nous utilisent pour se produire et se foutent royalement de nous… »
Toute la portée du sexe de Saïd…
Dernière édition par Kashima le Ven 5 Aoû 2022 - 9:18, édité 1 fois
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
J'ai enfin pris le temps de lire ton article.
Tu as bien travaillé! ça doit être bien d'être dans les premiers à écrire sur un artiste naissant, avant qu'il ne soit accaparé par d'autres...
Une belle oeuvre, noire et sexuelle.
Tu as bien travaillé! ça doit être bien d'être dans les premiers à écrire sur un artiste naissant, avant qu'il ne soit accaparé par d'autres...
Une belle oeuvre, noire et sexuelle.
Ezéchiel- Vergilius' forest
- Nombre de messages : 49
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Ah! Ezéchiel! Oui, au moins, c'est vierge d'inspiration...
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Merci de m'avoir fait découvrir Said, cet écrin que dont tu l'honores est légitime.
Il boulverse l'esprit et l'âme en dérangeant l'être dans son intime profondeur; il ose dévoiler sans fausse pudeur le sexe en choisissant d'exprimer la violence aussi:)
Il bouscule l'oeil et le Coeur en totale harmonie avec ses ressentis et ses projections sans doute qui vibrent en résonnance avec celles et ceux qui contemplent ses créations!
Belle âme et Artiste Rare Said ; je suis conquise depuis le premier regard!
Très heureuse de découvrir la vidéo:)
Il boulverse l'esprit et l'âme en dérangeant l'être dans son intime profondeur; il ose dévoiler sans fausse pudeur le sexe en choisissant d'exprimer la violence aussi:)
Il bouscule l'oeil et le Coeur en totale harmonie avec ses ressentis et ses projections sans doute qui vibrent en résonnance avec celles et ceux qui contemplent ses créations!
Belle âme et Artiste Rare Said ; je suis conquise depuis le premier regard!
Très heureuse de découvrir la vidéo:)
Invité- Invité
Re: HMS - l'art de Saïd
Merci pour ces mots, Brenda!
C'est vrai que c'est un grand. La rencontre avec lui a tenu à si peu!
C'est vrai que c'est un grand. La rencontre avec lui a tenu à si peu!
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Ma chauve-femelle
Voici la chauve-femelle de Saïd :
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Effectivement
Kashima accueillant ses invités :
"Mais je vous en prie, entrez. On va passer au salon si vous le voulez bien."
....
Kashima accueillant ses invités :
"Mais je vous en prie, entrez. On va passer au salon si vous le voulez bien."
....
Invité- Invité
Re: HMS - l'art de Saïd
Il est dans la chambre, maintenant... D'autres choses dans le salon...
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Vu les "autres choses", je ne crois pas...
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Oui...
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Nec te cum
Mon bébé chauve
Mon bébé chauve
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Exposition à Paris - l'Algérie et Saïd
Pour voir des toiles de Saïd, en vrai, rendez-vous demain à Villejuif, 16h.
ADJOUAD - ALGERIE MEMOIRES - Paris
Journée contre l’oubli
Vendredi 31 Mars 2012 à partir de 16 h
A l’Auberge des Idées ( Villejuif ) 60 rue Pasteur 94 Villejuif
09 54 70 69 54
Ajouad Algérie Mémoires vous invite à sa deuxième rencontre contre l’oubli des victimes du terrorisme intégriste en Algérie.
Au programme: participation de divers artistes (peintres plasticiens sculpteurs, chanteurs) :
Rahmoun Thillili, Hidjeb Saïd, Skenazène Samia, Bellefleur Anne, Berrichi Malika, Princy, Performance en trio, Lasfer Ahmed, Zouhir Boudjema.
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Dessiné pour l'expo algérienne :
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Je ne dirai qu'un mot: WOW.
Cammy- Au bord de l'entonnoir
- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 08/04/2012
Re: HMS - l'art de Saïd
Et encore, c'est rien, ça!
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Résolument inspirant!
Mais avec ce genre de style il est primordial de trouver son "public", car je suis certaine qu'une bonne partie des gens doivent rester hermétiques, tant nos propres intimités et nos propres tabous sont exposés et triturés... (Enfin je "suppose"... ^^ )
Mais avec ce genre de style il est primordial de trouver son "public", car je suis certaine qu'une bonne partie des gens doivent rester hermétiques, tant nos propres intimités et nos propres tabous sont exposés et triturés... (Enfin je "suppose"... ^^ )
Cammy- Au bord de l'entonnoir
- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 08/04/2012
Re: HMS - l'art de Saïd
C'est le genre de choses dont je ne me rends pas compte...
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Re: HMS - l'art de Saïd
Eh bien ça peut avoir plusieurs significations! ^^ Mais c'est une chance je trouve!
Cammy- Au bord de l'entonnoir
- Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 08/04/2012
Re: HMS - l'art de Saïd
Parfois, je le perçois quand des gens viennent chez moi, j'ai ce recul par rapport aux tableaux et dessins, mais ça me surprend toujours que ce ne soit pas naturel.
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
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