Légendes urbaines
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Légendes urbaines
Une légende urbaine (de l’anglais : urban legend) est une histoire moderne se répandant de proche en proche par le bouche à oreille ou par courriel. Elle est dénommée aussi légende contemporaine et se rapproche de la rumeur, du canular. En tant que littérature orale, et suivant sa résistance au temps, elle fait partie intégrante du folklore.
Wikipedia
Ce sont des croyances, des histoires qu'on se raconte pour se faire peur mais auxquelles on croit un peu. La dame blanche, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]... Elles peuvent être des rumeurs comme la seringue contaminée qui transmettait le sida au cinéma... Voici un site qui en recense quelques-unes : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Certaines légendes urbaines ne deviendront pourtant jamais des légendes! Le film The Orphan Killer désirait en créer une : celle d'un jeune garçon dont les parents ont été assassinés sous ses yeux et ceux de sa sœur. Élevé dans un pensionnat religieux, ses pulsions violentes sont châtiées par des nonnes qui le frappent et le forcent à mettre un masque effrayant, destiné à éloigner les autres enfants de lui. Sa petite sœur est adoptée, pas lui.
Plus grand, il décide de se venger en assassinant tout ce qui bouge, et sa victime ultime sera sa sœur qui lui a préféré les poupées Barbie.
Il ne faut pas se fier à toutes les couronnes de laurier sur l'affiche! A y regarder de plus près, des sélections, mais pas de prix...
Dans la famille des navets, on en trouve une bonne réserve dans les films d'horreur. Avec The Orphan Killer, c'est le cas. La soeur est professeur : elle se promène toute la journée en bas résille et en mini-jupe dans l'école catholique, prend sa douche dans les sous-sols de l'école, se tortillant sous le jet d'eau :
Et ce n'est pas du deuxième degré...
La musique rock'n'roll veut se donner un genre à la Rob Zombie, mais c'est raté. Abracadabrant. On pioche un peu dans le Jason de Vendredi 13, dans le Leatherface de Massacre à la Tronçonneuse, on mélange et ce n'est pas mangeable! En revanche, quel "budget globine"! Il y en a, de la cervelle qui saute et du cerveau qui pisse le sang. Mais ça nous laisse froid, le fond est tellement risible...
Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
La dame en noir
Actuellement sur les écrans, The Woman in black est elle aussi une légende urbaine.
Un avocat veuf, père d'un petit garçon, doit se rendre dans un domaine qui va être vendu. Mais, au village, il n'est pas le bienvenu, on aimerait, dès son arrivée, le chasser. Pourquoi?
Le domaine de Mme Dalbrow ressemble à l'île du Mont Saint-Michel : sur l'océan, dans la brume, il n'est relié aux terres que par un chemin submergé la moitié du temps. Quand on arrive sur cet îlot, une croix, rappelant la mort tragique d'un enfant, se dresse. Il fait sombre, humide... A l'intérieur du château, des bruits étranges, des jouets qui bougent, une présence angoissante. Et, dans le jardin broussailleux se promène la dame en noir.
Ce film sur une maison hantée, la présence des esprits et la colère des mal-morts, sait créer une atmosphère angoissante. Deux mots qui me venaient en regardant La Dame en noir : glauque (déterrer d'un marais bourbeux le cadavre putréfié d'un enfant de sept ans, le coucher sur son lit pour le rendre à sa mère...), gothique (on ouvre les tombes, on se promène dans un manoir vide et obscur). J'aime bien que la mort de l'enfant ne soit pas tabou dans l'épouvante.
On peut regretter seulement que la suite se devine assez vite et qu'on entrevoie assez tôt la fin. Mais, en jouant le jeu, on peut se faire quelques petites frayeurs ou sursauts, grâce à cette dame en noir dévoreuse d'enfants.
Un avocat veuf, père d'un petit garçon, doit se rendre dans un domaine qui va être vendu. Mais, au village, il n'est pas le bienvenu, on aimerait, dès son arrivée, le chasser. Pourquoi?
Le domaine de Mme Dalbrow ressemble à l'île du Mont Saint-Michel : sur l'océan, dans la brume, il n'est relié aux terres que par un chemin submergé la moitié du temps. Quand on arrive sur cet îlot, une croix, rappelant la mort tragique d'un enfant, se dresse. Il fait sombre, humide... A l'intérieur du château, des bruits étranges, des jouets qui bougent, une présence angoissante. Et, dans le jardin broussailleux se promène la dame en noir.
Ce film sur une maison hantée, la présence des esprits et la colère des mal-morts, sait créer une atmosphère angoissante. Deux mots qui me venaient en regardant La Dame en noir : glauque (déterrer d'un marais bourbeux le cadavre putréfié d'un enfant de sept ans, le coucher sur son lit pour le rendre à sa mère...), gothique (on ouvre les tombes, on se promène dans un manoir vide et obscur). J'aime bien que la mort de l'enfant ne soit pas tabou dans l'épouvante.
On peut regretter seulement que la suite se devine assez vite et qu'on entrevoie assez tôt la fin. Mais, en jouant le jeu, on peut se faire quelques petites frayeurs ou sursauts, grâce à cette dame en noir dévoreuse d'enfants.
C'est glauque (déterrer d'un marais bourbeux le cadavre putréfié d'un enfant de sept ans, le coucher sur son lit pour le rendre à sa mère...), gothique(on ouvre les tombes, on se promène dans un château vide et obscur). Il faut juste parvenir à oublier que le monsieur torturé à l'écran, c'est Harry Potter et ne pas se laisser décourager par une affiche digne d'un beau nanar :
Au fait, il y aura une suite, c'est parti pour la saga!
Après le succès de "La Dame en Noir", plus gros succès pour un film d’horreur anglais depuis 20 ans avec 120 millions de dollars au box office mondial, les dirigeants de la Hammer viennent d’annoncer qu’une suite était actuellement en développement : "The Woman in Black: Angels Of Death".
Kashima- Faux-monnayeur
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Piggy man
La légende urbaine de Piggy man est raconté dans le sixième épisode de la saison 1 de American horror story. Elle est une invention de cette série.
Un homme confie au psy qu'il est effrayé : il n'ose plus se regarder dans le miroir car il est tenté d'appeler l'homme cochon. Ce dernier travaillait dans un abattoir de porcs et les tuait en se revêtant d'un masque fait avec la peau de l'un d'entre eux. Un jour, il s'est fait dévorer par les bêtes.
Quand on se met face à une glace et qu'on l'appelle, il vous tue.
Ce n'est pas sans rappeler la légende de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]...
Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
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