Histoires d'amour fou
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Histoires d'amour fou
Voici un film qui nous captive du début à la fin : tout sonne juste dans cet amour qui s'autodétruit d'être si fort.
Ca commence par la fin, mais y a-t-il vraiment une fin à cet amour qui la cherche et la repousse? Gabrielle rend visite à Jean après la rupture, et le film est monté de telle sorte qu'on suive leur histoire naissante, passionnelle, toujours aux frontières de sa fin.
De la terrasse du café où ils se sont rencontrés à cet appartement où ils ne peuvent toujours pas renoncer, on assiste à l'impossibilité de l'amour, impossibilité intrinsèque. Impuissance à se quitter et impossibilité possible à être ensemble (l'expression est volontaire, je ne sais pas comment l'exprimer autrement). C'est très dur à définir, ce qui est raconté à l'écran. A part en le vivant?
C'est touchant, très fort parce que ça semble vrai, ça sent le vécu - et d'autant plus touchant quand on s'y reconnait! elle, c'est elle! Lui, c'est moi...
J'ai l'impression que les détracteurs seront/sont ceux qui ne pourront pas comprendre - après, sur la technique, je n'ai aucun avis. Je sais juste que c'est un cinéma sincère.
Le film est tiré du roman du même titre de Michaël Cohen (visible dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) réalisateur et compagnon d'Emmanuelle Béart...
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Ca commence par la fin, mais y a-t-il vraiment une fin à cet amour qui la cherche et la repousse? Gabrielle rend visite à Jean après la rupture, et le film est monté de telle sorte qu'on suive leur histoire naissante, passionnelle, toujours aux frontières de sa fin.
De la terrasse du café où ils se sont rencontrés à cet appartement où ils ne peuvent toujours pas renoncer, on assiste à l'impossibilité de l'amour, impossibilité intrinsèque. Impuissance à se quitter et impossibilité possible à être ensemble (l'expression est volontaire, je ne sais pas comment l'exprimer autrement). C'est très dur à définir, ce qui est raconté à l'écran. A part en le vivant?
C'est touchant, très fort parce que ça semble vrai, ça sent le vécu - et d'autant plus touchant quand on s'y reconnait! elle, c'est elle! Lui, c'est moi...
J'ai l'impression que les détracteurs seront/sont ceux qui ne pourront pas comprendre - après, sur la technique, je n'ai aucun avis. Je sais juste que c'est un cinéma sincère.
Le film est tiré du roman du même titre de Michaël Cohen (visible dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) réalisateur et compagnon d'Emmanuelle Béart...
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Dernière édition par Kashima le Lun 7 Fév 2011 - 8:12, édité 2 fois
Kashima- Faux-monnayeur
- Nombre de messages : 6546
Date d'inscription : 29/09/2008
Allociné
Une critique sur Allociné pour dire que c'est exactement le contraire que nous avons ressenti :
"Mais pour le reste, et bien que j'aime en principe les personnages torturés...on est dans le trop! Au lieu d'être juste écorchée vive...Béart à un rôle où l'on n'est pas loin de la dingue. (Ce qui du coup, ne la rend pas attachante). De plus, par moment, elle joue carrément mal. Bref, à un certain stade, on a juste envie de leur dire d'aller se faire soigner et d'arrêter de faire chier pour rien ! Il y a aussi une difficulté à suivre la chronologie des flash-backs : peu de repères, on se demande à chaque fois "Bon, on est quand là ?". Donc...on s'ennuie, on n'accroche pas, on ne s'identifie pas..."
Le fort est du trop, et les gens ont besoin de linéarité pour comprendre, ou de gros flash-backs amorcés par des flous ou une musique, sans doute?
Les repères temporels sont énormes, mais pas faits avec de gros sabots. Je conseille à ce genre de spectateurs de se rabattre sur les comédies romantiques américaines, beaucoup plus fades, limpides de simplicité.
Quant à l'identification, on ne peut rien faire non plus pour lui : il ne pourra ressentir que ce qu'il a vécu. Du peu, du peu... Qui peut le moins ne peut le plus!
"Mais pour le reste, et bien que j'aime en principe les personnages torturés...on est dans le trop! Au lieu d'être juste écorchée vive...Béart à un rôle où l'on n'est pas loin de la dingue. (Ce qui du coup, ne la rend pas attachante). De plus, par moment, elle joue carrément mal. Bref, à un certain stade, on a juste envie de leur dire d'aller se faire soigner et d'arrêter de faire chier pour rien ! Il y a aussi une difficulté à suivre la chronologie des flash-backs : peu de repères, on se demande à chaque fois "Bon, on est quand là ?". Donc...on s'ennuie, on n'accroche pas, on ne s'identifie pas..."
Le fort est du trop, et les gens ont besoin de linéarité pour comprendre, ou de gros flash-backs amorcés par des flous ou une musique, sans doute?
Les repères temporels sont énormes, mais pas faits avec de gros sabots. Je conseille à ce genre de spectateurs de se rabattre sur les comédies romantiques américaines, beaucoup plus fades, limpides de simplicité.
Quant à l'identification, on ne peut rien faire non plus pour lui : il ne pourra ressentir que ce qu'il a vécu. Du peu, du peu... Qui peut le moins ne peut le plus!
Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
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