Pauliska ou la perversité moderne
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Pauliska ou la perversité moderne
Abandonné aux trois quarts... (journal d'Ernest).
Rien à dire sur le style, l'atmosphère XVIIIème. Mais il ne faut pas avoir lu Sade ou les libertins. Car Pauliska traverse des épreuves dont elle sort toujours indemne au dernier moment : elle se plaint de ses malheurs, mais l'auteur ne va pas au bout des choses. Pourtant, les guet-apens dans lesquels elle tombe, les sectes ou fous qu'elle rencontre auraient pu effrayer et intéresser le lecteur... On se lasse de cette fuite sur la route, et cette perversité n'en a presque que le titre.
"Apprenez cependant que la beauté est conditionnelle."
"Au reste, mon système tend surtout à faire naître le désir : créez ce désir, vous créez l'amour. C'est ce que j'ai fait, et Vénus tout entière a passé dans vos veines."
Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
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