A la grande boucherie
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A la grande boucherie
Jamais vu un film aussi sanglant et aussi sadique que celui-ci : Grotesque.
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Un homme, une sorte de médecin qui n'exerce pas, guette ses victimes dans sa camionnette, les assomme et les ramène chez lui, dans sa "salle d'opération". Horreur sur horreur, on est crispé et on se dit : "vivement qu'on atteigne les 1h13, vivement qu'ils meurent, les pauvres". Les Japonais n'ont pas leur égal dans le gore. Les colliers de doigts, l'attachage d'intestins, tout y passe. Un vrai moment d'horreur. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est gentil à côté de ce raffinement de sadisme. Les gens sont trop fous pour leur conseiller ce genre de films...
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Un homme, une sorte de médecin qui n'exerce pas, guette ses victimes dans sa camionnette, les assomme et les ramène chez lui, dans sa "salle d'opération". Horreur sur horreur, on est crispé et on se dit : "vivement qu'on atteigne les 1h13, vivement qu'ils meurent, les pauvres". Les Japonais n'ont pas leur égal dans le gore. Les colliers de doigts, l'attachage d'intestins, tout y passe. Un vrai moment d'horreur. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est gentil à côté de ce raffinement de sadisme. Les gens sont trop fous pour leur conseiller ce genre de films...
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Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
Torture porn
Grotesque fait partie de ce qu'on appelle les "torture-porn" :
"sous-genre cinématographique du cinéma d'horreur et d'exploitation apparu depuis longtemps déjà. Il s'agit d'histoires dramatiques, souvent désespérées et rarement avec un "happy end", où des individus vont se retrouver à la merci de sadiques pervers agissant en solo mais aussi quelquefois en groupe. Les victimes seront soumises à toutes sortes de brutalités, de tortures et autres atrocités qui les mèneront généralement à une issue fatale. Souvent jeunes et belles, elles n'échapperont pas à toutes sortes d'atteintes à leur sexualité (viols, tortures à caractère sexuel, prostitution forcée). Ces éléments font donc de ces films un exemple-type du cinéma d'exploitation.
Le "torture porn" ne connaît pas seulement un courant nord-américain mais aussi asiatique et européen, les blockbusters produits par de grands groupes cinématographiques voisinant aussi avec quantité de petites productions indépendantes, souvent d'ailleurs bien plus choquantes. Généralement, ces films sont toutefois non ouvertement pornographiques."
"sous-genre cinématographique du cinéma d'horreur et d'exploitation apparu depuis longtemps déjà. Il s'agit d'histoires dramatiques, souvent désespérées et rarement avec un "happy end", où des individus vont se retrouver à la merci de sadiques pervers agissant en solo mais aussi quelquefois en groupe. Les victimes seront soumises à toutes sortes de brutalités, de tortures et autres atrocités qui les mèneront généralement à une issue fatale. Souvent jeunes et belles, elles n'échapperont pas à toutes sortes d'atteintes à leur sexualité (viols, tortures à caractère sexuel, prostitution forcée). Ces éléments font donc de ces films un exemple-type du cinéma d'exploitation.
Le "torture porn" ne connaît pas seulement un courant nord-américain mais aussi asiatique et européen, les blockbusters produits par de grands groupes cinématographiques voisinant aussi avec quantité de petites productions indépendantes, souvent d'ailleurs bien plus choquantes. Généralement, ces films sont toutefois non ouvertement pornographiques."
Kashima- Faux-monnayeur
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The Human centipede 2
Après le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] nommé Heiter, qui fait des choses horribles mais quasi proprement, à l'allemande, on a le boucher, Martin, un attardé mental, abusé par son père enfant, dégoûtant, obsédé par le film The Human Centipede et désirant créer lui aussi un millepatte humain, mais avec douze personnes, cette fois-ci. Il vit avec sa mère qui est une vieille acariâtre castratrice :
Ce héros malsain, baveux et ventripotent, ne prononce pas un mot. Il travaille à la vidéo-surveillance dans un parking souterrain, et c'est là qu'il attrape ses victimes, en leur tirant dessus et les assommant.
Il n'est plus question d'anesthésie pour faire l'œuvre : un coup de fer sur la tête et l'opération commence avec les moyens du bord : couteaux de cuisine, entonnoir, hachoir...
Le film est beaucoup plus glauque, plus sale que le premier volet. Il est tourné en noir et blanc, mais l'horreur et le dégoût n'en sont pas moins grand. L'aspect scatologique est encore plus développé. Une véritable horreur...
Ce héros malsain, baveux et ventripotent, ne prononce pas un mot. Il travaille à la vidéo-surveillance dans un parking souterrain, et c'est là qu'il attrape ses victimes, en leur tirant dessus et les assommant.
Il n'est plus question d'anesthésie pour faire l'œuvre : un coup de fer sur la tête et l'opération commence avec les moyens du bord : couteaux de cuisine, entonnoir, hachoir...
Le film est beaucoup plus glauque, plus sale que le premier volet. Il est tourné en noir et blanc, mais l'horreur et le dégoût n'en sont pas moins grand. L'aspect scatologique est encore plus développé. Une véritable horreur...
Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
The human centipede (final sequence)
Le dernier épisode de la complètement folle trilogie The Human Centipede a pour personnage principal Bill Boss, un gardien de prison sadique. C'est l'inquiétant et dégoûtant Dieter Laser qui l'incarne (comme il faisait aussi le médecin nazi de l'épisode 1).
On ne voit pas passer la première heure, mais il faut dire que ce film, c'est presque le one-man show de Dieter Laser (et ça en devient même un peu trop après, car on voudrait quand même se pencher sur le cas de cet ultime centipède).
Bill Boss a donc de gros problèmes avec les détenus, des durs qu'il maltraite et qui jurent de se venger de lui en le violant à mort. On assiste aux représailles du directeur qui casse un bras, ébouillante un visage, coupe les testicules qu'il dégustera une fois cuisinés.
Par 50 degrés extérieur, Bill Boss a la chaleur qui lui monte à la tête : il est totalement odieux avec sa secrétaire dont il abuse sexuellement ; il est secondé par un gentil rondouillard un peu pervers, fan du film The Human centipede, et il mange, comme friandises, des clitoris séchés d'Afrique.
C'est, dès le départ, tellement fou qu'on en vient parfois à rire.
Comme Bill Boss ne parvient pas à mater les prisonniers, il écoute enfin la suggestion de son assistant : il faut faire de tous les détenus un millepatte gigantesque. Ainsi, ils ne se sauveront pas, ne se rebelleront pas ; on fera l'économie de nourriture car, pour qui a suivi les deux premiers volets, on sait bien comment fonctionne la bête humaine... Dans son sadisme, avant de leur faire subir l'opération, Bill Boss montre les deux films aux prisonniers, totalement révoltés. L'émeute est jugulée et la conception du millepatte humain commence... La différence est qu'un prisonnier étant libérable, il faudra songer à la façon de le retirer du millepatte. Les solutions sont vite trouvées.
Finalement, le film ne consacre qu'une bonne demi-heure à ce qui devait être son sujet, et c'est dommage, comme si l'idée avait déjà été épuisée. On a tout de même envie, à un moment, que Bill Boss calme le jeu et cesse de nous hurler dans les oreilles, mais c'est un film à voir quand on aime le cinéma étrange et d'horreur : ça ne ressemble à rien d'autre! En revanche, question centipède, on reste légèrement sur notre... faim.
On ne voit pas passer la première heure, mais il faut dire que ce film, c'est presque le one-man show de Dieter Laser (et ça en devient même un peu trop après, car on voudrait quand même se pencher sur le cas de cet ultime centipède).
Bill Boss a donc de gros problèmes avec les détenus, des durs qu'il maltraite et qui jurent de se venger de lui en le violant à mort. On assiste aux représailles du directeur qui casse un bras, ébouillante un visage, coupe les testicules qu'il dégustera une fois cuisinés.
Par 50 degrés extérieur, Bill Boss a la chaleur qui lui monte à la tête : il est totalement odieux avec sa secrétaire dont il abuse sexuellement ; il est secondé par un gentil rondouillard un peu pervers, fan du film The Human centipede, et il mange, comme friandises, des clitoris séchés d'Afrique.
C'est, dès le départ, tellement fou qu'on en vient parfois à rire.
Comme Bill Boss ne parvient pas à mater les prisonniers, il écoute enfin la suggestion de son assistant : il faut faire de tous les détenus un millepatte gigantesque. Ainsi, ils ne se sauveront pas, ne se rebelleront pas ; on fera l'économie de nourriture car, pour qui a suivi les deux premiers volets, on sait bien comment fonctionne la bête humaine... Dans son sadisme, avant de leur faire subir l'opération, Bill Boss montre les deux films aux prisonniers, totalement révoltés. L'émeute est jugulée et la conception du millepatte humain commence... La différence est qu'un prisonnier étant libérable, il faudra songer à la façon de le retirer du millepatte. Les solutions sont vite trouvées.
Finalement, le film ne consacre qu'une bonne demi-heure à ce qui devait être son sujet, et c'est dommage, comme si l'idée avait déjà été épuisée. On a tout de même envie, à un moment, que Bill Boss calme le jeu et cesse de nous hurler dans les oreilles, mais c'est un film à voir quand on aime le cinéma étrange et d'horreur : ça ne ressemble à rien d'autre! En revanche, question centipède, on reste légèrement sur notre... faim.
Kashima- Faux-monnayeur
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