The Duke of Burgundy
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The Duke of Burgundy
Avec la TRÈS charmante Sidse Babett Knudsen, femme de pouvoir dans Borgen et médecin qui fait tourner la tête à un juge dans L'Hermine.
Le film s'ouvre sur cette scène : une jeune femme arrive à vélo et frappe à la porte d'une riche maison. Celle qui lui ouvre (l'actrice citée) lui reproche d'être en retard. Elle lui interdit de s'asseoir, lui demande de faire le ménage et de laver ses petites culottes. A la moindre erreur, elle sera punie...
The Duke of Burgundy raconte la liaison de Cynthia et d'Evelyn. On apprend très vite que cette dernière a besoin d'être dominée pour éprouver du plaisir. Elle écrit à Cynthia ce qu'elle doit faire et lui demande de jouer la femme fatale. Mais, malgré tout l'amour qu'elle lui porte, Cynthia aimerait vivre sa relation avec la jeune femme de façon un peu plus classique. On sent peu à peu combien ces mises en scène lui pèsent.
Le film est très esthétique. La métaphore des insectes, et en particulier des chenilles et des papillons, ponctue le film. On comprend assez bien pourquoi, vu les métamorphoses qui se jouent sous nos yeux. Par moments, on ne sait plus vraiment si on est dans le jeu ou dans la réalité, et l'ont perçoit aussi très bien qu'une autre façon de fonctionner entre elles ne marchera jamais : Evelyn a profondément besoin d'être humiliée pour désirer Cynthia.
Le sujet est délicat, rarement traité, et c'est très réussi car on ne tombe pas dans la vulgarité et l'outrance. On sent particulièrement l'amour de Cynthia pour Evelyn et l'intérêt est aussi de voir comment les rôles peuvent aisément s'inverser et que tout n'est pas défini si clairement.
Le film s'ouvre sur cette scène : une jeune femme arrive à vélo et frappe à la porte d'une riche maison. Celle qui lui ouvre (l'actrice citée) lui reproche d'être en retard. Elle lui interdit de s'asseoir, lui demande de faire le ménage et de laver ses petites culottes. A la moindre erreur, elle sera punie...
The Duke of Burgundy raconte la liaison de Cynthia et d'Evelyn. On apprend très vite que cette dernière a besoin d'être dominée pour éprouver du plaisir. Elle écrit à Cynthia ce qu'elle doit faire et lui demande de jouer la femme fatale. Mais, malgré tout l'amour qu'elle lui porte, Cynthia aimerait vivre sa relation avec la jeune femme de façon un peu plus classique. On sent peu à peu combien ces mises en scène lui pèsent.
Le film est très esthétique. La métaphore des insectes, et en particulier des chenilles et des papillons, ponctue le film. On comprend assez bien pourquoi, vu les métamorphoses qui se jouent sous nos yeux. Par moments, on ne sait plus vraiment si on est dans le jeu ou dans la réalité, et l'ont perçoit aussi très bien qu'une autre façon de fonctionner entre elles ne marchera jamais : Evelyn a profondément besoin d'être humiliée pour désirer Cynthia.
Le sujet est délicat, rarement traité, et c'est très réussi car on ne tombe pas dans la vulgarité et l'outrance. On sent particulièrement l'amour de Cynthia pour Evelyn et l'intérêt est aussi de voir comment les rôles peuvent aisément s'inverser et que tout n'est pas défini si clairement.
Kashima- Faux-monnayeur
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Date d'inscription : 29/09/2008
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