La musique
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La musique
Le narrateur s'apprête à partir de Provence pour rejoindre Berne où il vit. Il croise un homme, Martijn Van Vliet qui retourne lui aussi là-bas et lui propose de le ramener en voiture. Au cours du trajet, ce dernier va raconter sa douloureuse histoire au narrateur : jeune, Léa a perdu sa mère. La vie n'a plus aucune saveur quand un jour, alors qu'elle se promène avec son père, elle entend dans la gare Loyola de Colon qui joue du violon. La jeune fille est émerveillée, comme hypnotisée. La musique et cette vision l'ont totalement happée si bien que peu de temps après, son père lui achète un violon. Elle va vivre cette passion de manière obsessionnelle, très vite devenir un prodige et connaître le succès.
Mais l'on sait que ce que raconte Martijn est une tragédie et, peu à peu, au cours du voyage, on apprend comment Léa a sombré dans la folie.
Pascal Mercier explique dans une postface qu'il a essayé plusieurs façon de narrer cette histoire : le "je" rendait le père de Léa trop proche du lecteur, trop larmoyant. Il a eu l'idée de créer cette perspective narrative, de sorte que l'histoire passe par une troisième personne et que le "je" soit ainsi moins pathétique.
Au début, j'ai cru que cela ne m'intéresserait pas plus que cela quand j'ai vu que c'était l'histoire d'un père et de sa fille, une histoire de musique et de violon et très vite, on est pris par l'envie de savoir où l'obsession de Léa va la mener. Autour d'elle gravitent des professeurs de violon qu'elle semble aussi aimer de manière forte et exclusive.
Mais l'on sait que ce que raconte Martijn est une tragédie et, peu à peu, au cours du voyage, on apprend comment Léa a sombré dans la folie.
Pascal Mercier explique dans une postface qu'il a essayé plusieurs façon de narrer cette histoire : le "je" rendait le père de Léa trop proche du lecteur, trop larmoyant. Il a eu l'idée de créer cette perspective narrative, de sorte que l'histoire passe par une troisième personne et que le "je" soit ainsi moins pathétique.
Au début, j'ai cru que cela ne m'intéresserait pas plus que cela quand j'ai vu que c'était l'histoire d'un père et de sa fille, une histoire de musique et de violon et très vite, on est pris par l'envie de savoir où l'obsession de Léa va la mener. Autour d'elle gravitent des professeurs de violon qu'elle semble aussi aimer de manière forte et exclusive.
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Sonatas and Partitas, Sonata No. 3 in C Major, BWV 1005: Allegro assai
Itzhak Perlman
Kashima- Faux-monnayeur
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