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Les reines

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Quelle reine auriez-vous le mieux incarnée?

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Message  Kashima Mar 28 Oct 2008 - 13:46

Les reines du Portugal

Au fil de mes lectures, j'ai rencontré des figures de reine... Inès de Castro et Leonor Teles.


Inès de Castro, la "Reine morte"...

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On trouve une référence à son histoire chez Camoes (Les Lusiades, chant III):

« (Le Roi) Résout d'ôter Inês au monde, pour lui ôter le fils qu'elle garde captif ;
Il pense que seul le sang répandu par un meurtre indigne
Pourra éteindre l'ardent brasier de ce fidèle amour.
Cette noble épée qui put soutenir le grand poids de la fureur des Maures,
Quelle fureur a consenti à ce qu'elle fût levée
Contre une faible et tendre Dame ? »



Née au Portugal en 1325, Inês de Castro était la fille illégitime d'un noble cavalier galicien et d'une dame portugaise.
Inês fit partie, en 1340, dela suite de Dona Constanza Manoel, promise de l'héritier du trône lusitain.

L'infant, insatisfait des fiancées imposées, avait déjà refusé une jeune fille d'à peine quatorze ans, alléguant sa constitution fragile.
Du compromis avec Constanza, cependant, il ne put s'acquitter. Ils se marièrent donc… Mais très vite; le noble prince se laissa envoûter par le charme d'une Dame (sa cousine au deuxième degré), blonde aux yeux verts, précisément Inês de Castro.

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Réfractaire aux unions « arrangées », Don Pedro désirait vraiment partager sa vie avec Inês, situation d'avance condamnée par leurs deux conditions.

Plus que mécontent de son mariage, il abandonna sa femme à son sort, partant souvent à la chasse, ce qui lui valait nombre de reproches de la part de son royal père.

Et très vite, bien que marié à Constanza, il succomba à son amour pour Inês et ils devinrent amants.

Pour tenter de contourner telle compromettante situation, Inês fut sollicitée pour être la marraine de Fernando, le premier-né de D. Pedro et Constanza.
Cette mesure se révélant inutile et la romance adultère continuant à vivre au vu et su de tous, le roi Afonso IV (qui avait lui-même fait promulguer des lois contre ces situations) fit exiler Inês au château de Albuquerque, à la frontière espagnole, en 1344.

La distance ne diminua en rien la passion des amants qui continuèrent à se voir fréquemment.

Puis en 1354, Constanza mourut en couches de son troisième fils.

Ce fut un chemin ouvert pour les deux amants puisque D. Pedro, désormais veuf et libre, fit venir Inês d'Espagne. Ils décidèrent de vivre ensemble, loin de la cour, et eurent quatre enfants.

A de nombreuses reprises le roi tenta d'organiser un mariage de sang royal pour son fils, mais Pedro ne voulait que son Inês.

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Le vieux roi craignait l'influence de la famille d'Inês, les redoutables Castro, sur son fils aîné.
De plus, l'unique héritier légitime du trône, Fernando, était alors un enfant fragile et la peur que l'un des robustes fils d'Inês puisse un jour occuper le trône du Portugal commençait à poindre.

La noblesse portugaise s'inquiétait aussi de l'influence montante des Espagnols sur le futur roi.
Pour les Portugais, il était inconcevable de se soumettre à nouveau au joug de l'emprise castillane.
Le climat portugais, déjà tendu, subit une dure épreuve lors de la prolifération de la peste noire de 1348 à 1349, la succession au trône était de plus en plus menacée et la peur s'étend sur le royaume lusitain.
Il fallait un coupable à ce tableau désastreux et il était tout trouvé : Inês de Castro.
D. Afonso IV, aiguillonné par trois de ses proches conseillers, prit alors une décision démesurée, Inês devait mourir.

Le 7 janvier 1355, le vieux roi céda à la pression et, profitant d'une absence de Pedro lors d'une randonnée de chasse, il se diriga avec ses conseillers vers Coimbra pour exécuter Inês. Elle fut égorgée sans pitié.
Il va sans dire que Pedro se révolta contre son père et, allié aux Castro, provoqua une violente guerre civile contre l'empire paternel.

Lorsqu'en 1357 D. Afonso IV mourut, D. Pedro devint le souverain du Portugal, l'une de ses premières décision fut d'ordonner l'extradition des responsables de l'assassinat d'Inês, grâce à un accord avec le roi de Castille, où s'étaient réfugiés deux des assassins, ceux-ci revinrent affronter leur châtiment en terre natale, le troisième aurait trouvé refuge en France.


À partir de ces faits, les récits se rapportant aux décisions de Pedro peuvent être vrais comme tenir de la légende.
La légende dit que les deux assassins retrouvés ont eu le cœur arraché, l'un par devant, l'autre par derrière.

Véridique est la translation, en 1361, du corps d'Inês depuis l'église de Santa Clara à Coimbra vers le Monastère d'Alcobaça, dans magnifique tombeau sculpté.
Vraie encore la proclamation de la défunte comme reine que D. Pedro aurait secrètement épousée.

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Véridiques encore la grandiose sculpture sépulcrale en hommage à sa reine, tout comme les obsèques imposantes qui suivirent le transfert du corps.

Cependant la légende profondément ancrée dans l'âme lusitaine veut que Pedro eût exhumé le cadavre et imposé le baise-main et le couronnement d'Inês de Castro.
On dit encore que le souverain eût intentionnellement disposé le tombeau de son aimée face à celui qui serait le sien et non pas côte à côte comme de coutume… Cela afin que, lors du jugement dernier, ils puissent tous deux en se relevant se regarder les yeux dans les yeux.

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Selon les historiens, le huitième roi du Portugal, mu par les forts sentiments qui l'unissaient à sa bien-aimée, aurait agi sous l'emprise d'une douleur qui l'aliénait.


Dernière édition par Kashima le Mer 29 Oct 2008 - 22:00, édité 5 fois
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Les reines Empty Leonor Teles

Message  Kashima Mar 28 Oct 2008 - 14:35

Leonor Teles, "la Lucrère Borgia portugaise"

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Un épisode de l'histoire d'Éléonore Teles de Menezes est raconté par Herculano, "Douaire selon le droit d'Espagne".

Cette dame portugaise d'une grande beauté, était mariée à un seigneur du pays, don João Lourenço da Cunha (Jean Laurent da Cunha), lorsque le roi Ferdinand Ier du Portugal en devint éperdument amoureux.

Ce prince décida son mari à s'en séparer, l'épousa le 15 mai 1372 et la proclama reine, malgré le mécontentement général. Eléonore fit mettre à mort ses ennemis, combla de libéralités ses partisans, et eut même l'impudence d'élever au faîte des honneurs don Juan Andeiro, avec lequel on l'accusait d'avoir un commerce criminel.

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Après la mort de Ferdinand (1383), bien qu'elle eût été nommée régente en l'absence d'enfants mâles, elle ne put se soutenir : son favori fut massacré dans ses bras par l'infant don Joâo, frère du feu roi, et elle-même fut enfermée par son gendre, don Juan, roi de Castille, dans le monastère de Tordesillas, près de Valladolid, où elle mourut en 1405.

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Dans le "Douaire" d'Herculano, le peuple, sous la houlette du tailleur Fernao Vasquez, s'oppose à l'union du roi avec la "femme adultère". Elle y est peinte comme une femme diabolique et manipulatrice.
Don Fernando est fou d'elle. Lorsqu'il sont obligés de fuir Lisbonne, elle lui fait promettre de lui donner son douaire (entendre son cadeau de mariage) : elle exige qu'à leur retour soient pendus les insurgés.

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Les reines Empty Marie-Antoinette

Message  Kashima Sam 28 Avr 2012 - 19:11

Les reines Marie-Antoinette-1782

Marie-Antoinette d’Autriche (Vienne, 2 novembre 1755 – morte guillotinée à Paris, le 16 octobre 1793) était archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême, dauphine de France, reine de France et de Navarre (1774–1792), épouse de Louis XVI, roi de France. . Elle fut surnommée « l’Autrichienne » dès son arrivée à la cour de France puis « Madame Déficit » et, plus tard, « Madame Véto ».

Elle a été l'objet de nombreux films. Ce qui intrigue, souvent, c'est cette gloire du vivant et cette fin tragique, décapitée. J'avais vu un film il y a longtemps (je ne sais plus lequel c'est) qui la montrait dans ses derniers instants et ce qui m'avait marquée était le fait qu'elle ait ses règles et que le sang lui coule sur les jambes lorsqu'elle se dirigeait vers l'échafaud. J'avais trouvé cette image terrible.

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Récemment, Sofia Coppola lui a consacré un film, ainsi que Benoît Jacquot, sur un sujet tout autre que ses derniers instants.

Dans Les Adieux à la Reine, adapté du roman de l'écrivaine et historienne Chantal Thomas, nous sommes à Versailles. C'est le 14 juillet 1789. La nouvelle de la prise de la Bastille arrive aux oreilles des gens de la cour le lendemain, et c'est l'affolement. Que faire? Fuir? Rester?

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Sur ce fond historique se jouent aussi les amours de et pour Marie-Antoinette. On la voit entourée de femmes qui l'admirent ou l'aiment, qui veulent sa présence, comme ce personnage de fiction, Sidonie Laborde, sa lectrice.
L'une des premières scènes nous montre la jeune fille couverte de piqûres de moustiques, à moitié propre, se parfumer et se précipiter au pied du lit de la Reine pour lui faire sa lecture et être près d'elle.

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Marie-Antoinette n'a qu'une femme en tête : la Duchesse de Polignac qui a réellement existé. En revanche, on ne sait pas exactement la nature de leurs sentiments. Dans le film, Marie-Antoinette en est folle!
C'est subtil, plein de retenue, tout en ne nous faisant pas otages des sentiments des personnages.
L'une des scènes les plus fortes est celle qui se joue au palais des glaces : Marie-Antoinette a espéré voir, la veille au soir, Gabrielle qui n'est pas venue. Elles se retrouvent sous les yeux de la Cour :

http://www.premiere.fr/Bandes-annonces/Video/Les-Adieux-a-la-Reine-EXT-3

C'est loin d'être un "petit film de télé", comme je l'ai entendu en sortant de la séance. C'est beau, c'est du grand cinéma. Et il se passe plus de choses que dans des films aux mille rebondissements. Benoît Jacquot fait du cinéma littéraire, il faut avoir une âme sensible pour pouvoir apprécier...

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Virginie Ledoyen a donné une interview à Têtu (24 mars 2012):

«Pour moi, Marie-Antoinette et Gabrielle étaient amoureuses»

Dans Les Adieux à la reine de Benoît Jacquot, la divine Marie-Antoinette incarnée par Diane Kruger n’a d’yeux que pour elle. Troublante, vénéneuse, parfois inquiétante, Gabrielle de Polignac, sous les traits d'une Ledoyen retrouvée, ne cesse de lui faire perdre la tête... avant que le couperet ne tombe. Deux ans après avoir campé une lesbienne bourgeoise dans Tout ce qui brille, l’actrice au sourire ravageur enchaîne avec un deuxième «rôle lesbien». Dans le cadre royal d'un café du 16e à deux pas de la Seine, Ledoyen nous reçoit les yeux dans les yeux.

TÊTUE: Dans Les Adieux à la reine, vous incarnez la duchesse Gabrielle de Polignac, la favorite de Marie-Antoinette, voire plus... C’est du moins ce que sous-entend le film. Etaient-elles amoureuses?
Virginie Ledoyen: Personne ne sait si cette histoire d’amour a réellement existé. On peut juste se référer aux innombrables rumeurs qui ont couru sur Marie-Antoinette... A titre personnel, j’aime bien me raconter une histoire quand j’interprète un personnage. Pour moi, c’est indubitablement une histoire d’amour. Une indice me le laisse penser: Gabrielle est décédée quelques semaines après Marie-Antoinette et sur sa tombe a été écrit qu’elle est morte de chagrin...

Comment se sont rencontrées Marie-Antoinette et Gabrielle de Polignac?
A un bal masqué. Ni l’une, ni l’autre ne savaient quelle femme se cachait derrière le masque. On peut donc vraiment penser qu’elles sont tombées amoureuses, séduites par leurs peaux, les odeurs... On ne sait pas si elles ont «consommé»... Même si je leur souhaite (sourire). L’enjeu du film de Benoît Jacquot n’est d’ailleurs pas de chercher à savoir si elles ont couché ensemble mais plus de parler de leur relation complexe sur fond de fin de règne. Une période trouble où, la panique aidant, tout est exacerbé. Les sens, la sexualité...


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De Polignac est souvent présentée comme une intrigante, un personnage néfaste. A un moment du film, un homme déclare: «Gabrielle de Polignac est une fantaisie qui perdra la reine»...
«Fantaisie» est un mot intéressant. Si Gabrielle de Polignac était une «fantaisie», elle n’était en tout cas pas une passade. Elle sortait la reine de son quotidien, de la pesanteur de la cour, lui permettait de s’évader.

Comment voyez vous ce personnage au fond? Etait-ce une diablesse, une mante religieuse ou une femme libre qui avait parfaitement compris comment fonctionnait Versailles?
Pour moi, c’était une femme libre. Gabrielle de Polignac était complètement affranchie du regard des gens, elle se moque royalement de ce qu’on pense d’elle. Dans le film, la scène de la Galerie des glaces le montre bien. Elle traverse la foule de courtisans et prend la reine dans ses bras. C’est une scène très intense... (voir la vidéo en bas de l'article, ndlr)

Presque aussi intense qu’une étreinte amoureuse...
Oui, justement se prendre dans les bras c’était peut être leur façon de coucher ensemble! Au moins de témoigner de leur amour devant les autres. Elles ne se cachaient pas.

Les gens de la Cour disaient de Gabrielle de Polignac qu’elle était une «putain». N’est-ce pas finalement parce qu’elle avait réussi?
La jalousie et l’insulte sont souvent liées. Ce qu’on ne connaît pas fait peur. Effectivement, Gabrielle de Polignac avait un mépris profond pour le peuple, ce qui n'arrangeait donc pas son image. Mais surtout, ce qui agaçait les gens, c’est qu’elle était libre, elle collectionnait les conquêtes. Hommes, femmes, elle s’en fout, elle a envie de vivre comme elle le veut et sans gêne. Encore aujourd’hui, les femmes qui ont du pouvoir ou sont proches du pouvoir inquiètent, combien de fois a-t-on entendu «elle a dû coucher pour avoir...» Et quand bien même ce serait le cas! On ne dit jamais ça d’un homme.

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Au cours de votre carrière, vous avez été victime de ce genre d'insulte?
Peut-être... En tout cas je n’en ai jamais souffert. Cela ne m’a jamais intéressé de savoir ce qu’on pensait de moi. On aime tous savoir qui couche avec qui – je ne suis pas une sainte – mais ce n’est pas constitutif d’une personne. Une chose est sûre: la misogynie ne concerne pas que les hommes.

«Gabrielle de Polignac et la reine se prennent dans les bras, elles ne se cachent pas». Vous connaissiez Diane Kruger avant le tournage?
On se connaissait avant le film. J’avais croisé Diane sur des festivals de cinéma, à Cannes... C’est quelqu’un que j’ai beaucoup plaisir à voir, on s’aime bien.

Comment avez-vous travaillé avec elle pour rendre crédible votre relation à l’écran, pour développer cette intimité?
Ce n’était pas compliqué de créer ce rapport entre nous parce qu’il était très bien détaillé dans le scénario. Et puis, l’intimité c’est aussi comment le cinéaste l’envisage. On n’a pas répété pendant six mois dans une maison. On ne s’est pas embrassées en douce pour développer notre intimité (sourire). Les choses se sont faites très simplement.

Ce film est construit autour de ce qu'on pourrait appeler un triangle amoureux. La lectrice de la reine jouée par Léa Seydoux aimerait être à votre place…
Je crois. Sidonie aimerait être regardée par la reine comme celle-ci regarde Gabrielle de Polignac. Elle ne lui envie pas sa richesse, elle voudrait juste pouvoir susciter le même désir qu’elle chez la reine. C’est aussi pour ça qu’elle est fascinée par De Polignac. Quand elle la découvre endormie nue sur son lit, elle la regarde longuement et se demande: «Pourquoi la reine l’aime-t-elle? Dois-je aimer la reine comme elle?»

Dans Les Adieux à la reine, tous les rôles principaux sont tenus par des femmes. Est-ce qu’on peut parler d’un film de femmes?
Je ne sais pas si c’est un film de femmes mais en tout il propose des portraits de femmes. Ce sont souvent les femmes qui font l’Histoire et là c’est un moment où l’Histoire bascule. C’est aussi le cinéma de Benoît Jacquot. Il faut se lever de bonne heure avant de trouver quelques hommes dans ses films! (Rires).

(...)



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Message  Nicole Dim 29 Avr 2012 - 12:47

Very Happy Je n'ai pas pu répondre au sondage, moi je rêvais d'incarner une régicide...

bisou x 1001.

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Message  Kashima Dim 29 Avr 2012 - 13:38

Pourquoi tu ne peux pas répondre...? J'ai vérifié, il n'a pas de date limite...

caput
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Message  Nicole Dim 29 Avr 2012 - 14:01

Neutral Bah tout simplement parce que je ne suis pas sûre d'avoir eu envie d'incarner une reine déjà existante... Je n'ai pas l'idolâtrie facile, en fait...

bisou x 1001.

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Message  Kashima Dim 29 Avr 2012 - 16:43

Ah! Je croyais que c'était un problème technique! Smile
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Message  Nicole Dim 29 Avr 2012 - 18:35

Kashima a écrit:Ah! Je croyais que c'était un problème technique! Smile

Very Happy Oui, c'est bien une sorte de problème technique, mais interne à mon cerveau !

bisou x 1001.

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Message  Kashima Dim 29 Avr 2012 - 18:51

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